Le réveil des Africain
L'Aube d'un Nouveau Jour
Sur le continent noir, un soleil nouveau se lève,
L'Afrique se réveille, ses chaînes se délèvent
Des siècles de sommeil, de silence et de douleur,
S'effacent sous l'espoir, une force nouvelle fleurit
Un Chant d'Émancipation
Des voix s'élèvent, fortes et claires,
Un chant d'espoir, un hymne de liberté qui éclaire .Les peuples unis, un seul cœur battant,
Pour un avenir radieux, un destin triomphant
Un Continent en Marche
L'Afrique se relève, fière et digne,
Ses fils et ses filles, unis dans leur destin,
Construisent un avenir, un monde meilleur,
Où la paix et la justice seront le seul bonheur
L'Héritage de la Terre Mère
Des racines profondes, un héritage ancestral,
L'Afrique se nourrit, de sa force et de son idéal
Un continent riche, de culture et de beauté,
Un berceau de l'humanité ,une terre de liberté.
Abdoul Latif Compaweogo Sorgho
Poète du vivre ensemble
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Un peu d'amour...
J'ai fait des jours, des nuits
Sur des routes lointaines
À visage hérissé de piquants.
J'ai vécu des moments
Sur certaines frontières,
Mon espoir avait tendance d'y rester
Mais mon cœur était toujours taché d'amour
À l'heure où l'on est enfermé dans le sommeil
À l'heure où l'on courrait par-ci par-là
Pour terrasser ses tâches journalières,
J'étais sur le chemin
J'étais à ta trousse,
Je te cherchais mon trésor.
J'ai failli perdre le désir au fil des écorchures
Mais ces yeux
Dont tu vois, ornés d'un pénible silence,
Ce sont eux, qu'il faudra dire merci...
Ils ont rempli mon cœur
De pluie d'espoir, de graine d'envie...
Les lettres des mots que j'aies écrites
De mes mains, nimbées de la couleur d'ébène,
Elles, leur espoir de voyage , s'est écroulé tristement
Elles se sont retournées
Dans leur tombeau, elles sont de ma tête
Et là, c'est mon cœur
Qui malgré déchiré, tenté plusieurs fois
Est resté sur ton chemin
Il a acclamé des pluies qui l'ont battu
Et embrasé toute sorte de caresse d'épines
Mais là, Il est là pour t'aimer
Et assécher tes pleurs...
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble

Les yeux du monde s'enferment
Lentement comme celle d'une nuit d'hiver
En oubliant davantage la femme
N'est-elle pas est une légende oubliée ?
La femme qui erre avec un regard fatigué,
Elle est un trésor, une beauté, un charme !
Lorsque le soleil s'éteint,
La femme est là,
Elle est comme la lune
Elle est brillante, elle illumine
Et lorsque le désespoir s'installe,
Elle fait de ses épaules géantes,
Un tombeau calme pour qu'il s'y repose.
La femme est un amour donné
Et ses rayons sont éternels
Sous l'ombre des nuits,
Lorsqu'elle s'allonge sur ses pensées,
Elle formule ses vœux
Les plus précieux et plus sincères
Et en ce moment dans son esprit errant,
Elle n'a que le bien pour le monde !
Il n'y a pas de jour
Ni date
Ni heure
Pour la femme
Tous les jours l'appartienne !
Il n'y a pas d'heure
Pour lui offrir de doux mots
La femme adore d'être aimée
Et elle mérite d'être adorée
Elle a dans ses yeux
Des merveilles, des étincelles
Qu'elle se sert pour raviver le monde !
Alors femme je t'aime !
Femme je tu es un trésor
Femme tu es une reine !
La tendresse de tes yeux,
Ne l'éteins jamais !
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble

Sur mes feuilles blanches, j'ai étalé l'amour
Et là dans la voix des mots,
Qui crie quand j'écris
J'entends des silences
Et j'ai reconnu des pleurs de ces visages
Qui à travers des années
N'ont vu que de sombres jours,
Des jours qui caressent sans dévotion.
Sur mes feuilles blanches,
J'avais donc oublié les mots de cette vie morte,
Celle qui s'enroule avec de baisers funestes
Sur ces visages
Qui vivent sur la feuille noire de la nuit
Où ils ne peuvent lire ni la lune ni les étoiles.
Et pour ces visages en pleurs,
J'ouvre une nouvelle page de ma feuille
Afin d'écrire à toi qui vis dans le tombeau du bonheur,
Écoute-moi car le vent te chantera mes mots
Lis-moi car tu verras, sur chaque visage triste
Que tu rencontreras, la poussière de mes mots
Ce sont des mots suppliants et mourants
D'un cœur triste, qui s'éteint de sourire !
À toi, en qui la joie fleurit
J'ai voulu, sans hésiter, t'écrire
En ayant l'espoir au fond, que tu m'écouteras
Et que tu voudras bien écouter ces peuples
Ceux sur qui le désespoir scintille
Comme brille un feu ardemment
À toi, qui chaque jour me lis
Sachant déjà que je suis un fervent de l'amour
Relis-moi, je t'en prie....
Car c'est ici que j'enterre mon cœur,
Ici, parmi les pleurs des âmes meurtries
Je te supplie encore et encore
Et je sais qu'aux beaux jours,
Tu daigneras à sourire aux innocents.
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble
Que l'amour soit notre berger !
Et voici se poser sur mon cœur
Un chant, une étoile qui brille !
Difficile pour moi, de le décrire en vers
Ce feu ardent qui en moi scintille !
Et comme un embryon de huit mois,
Ce chant, tout temps, virevolte en moi !
Absolument difficile ou voire impossible
D'écrire ce chant, ce vent frais et agréable !
Et je souhaite qu'il s'empare du monde entier,
Et qu'il lui offre les baisers
Qu'il m'offre, tellement doux et enflammés
Et oui ! Que l'amour soit notre éternel berger !
Et si tu savais comme l'amour est beau
Ses caresses, ses errements sur monde
Et ses rires sont des joies infinies et profondes
Que chacun aurait comme instants magiques sur le dos....
Et sur mon âme, c'est l'écho de l'amour qui s'éveille
Il m'offre des éclats d'un soleil d'été dans le regard,
Des éclats de rire, tempérés et captivants
Et je souhaite que cet amour s'étende sur tous les vivants !
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble.

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L’auteur donne la parole aux professeurs noirs Africains /Antillais sous anonymat pour donner leur témoignages sur ce qu’ils vivent dans le système scolaire en Occident.
Tout d’abord leur titularisation est difficilement obtenable malgré les nombreux efforts, donc souvent ils sont obligés de se rabattre sur des postes de remplaçants.
Nous avons aussi des parents qui n’ont pas confiance en leur capacité d’enseignements et qui critiquent tout car dans l’inconscient le savoir ne peut être noir . Il y a aussi des élèves qui n’hésitent pas à manquer de respect voir même porter main à certains professeurs. Et même quand grâce aux professeurs ils réussissent ils ne le reconnaissent pas la plupart du temps.
Il y a aussi le plafond de verre dans le milieu professionnel car même quand ils gravissent les échelons il y a des personnes, il y a des personnes qui remettent en cause leurs autorités.
Mais il y a aussi des bonnes âmes et des personnes occidentales qui prennent leurs défenses .
Il y a de la discrimination avec les élèves, collègues professeurs et la hiérarchie. Ils sont aussi affecter dans les ghettos ou endroits difficiles ect…
De Myriam Coulibaly

Quelque part tu es là
Je suis dans ton cœur,
Tu entends mes cris
Dans le vent qui te caresse
Et tu me vois
Sur mon chemin perlé de chagrin
Et de chaudes larmes !
Quelque part le vent emmène
Sous ses ailes, l'odeur de mes larmes
De martyr de guerre et d'injustice
Et toi qui l'as reçu au fond du nez,
Tu ne sais pas si c'est vrai,
Les caresses mortifères que je reçois
Tu dis qu'il n'existe plus des âmes monstres
Comme celles qui étaient venues
De la terre civilisée, sous les baobabs
Et qui ont mal payé leurs passages !
Quelque part tu regardes,
On a les yeux sur le même horizon
Où les cœurs vivent calmement
Comme une mer qui se repose
Mais je ne sais pas si c'est vrai
Mais je sais que quelque part tu es là !
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble.

𝗗𝘂𝗼 𝗽𝗼𝗲́𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲
𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲 : 𝗹'𝘂𝗻𝗶𝘁𝗲́ 𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲
𝗜𝘀𝗺𝗮𝗲̈𝗹
Ô ! Afrique
Afrique des géants baobabs,
Ô ! Afrique de l'uranium et de l'or,
Les colonisateurs se sont retirés
Afrique; pays par pays, elle nous appartient
L'or, l'uranium, le diamant, tout est à nous
Nous sommes libérés de leurs mains,
Mains de ceux qui sont venus plus saints que les saints
Qui ont détruit nos mœurs
Et extirpé notre richesse
Et nous jeter dans les bras de la mendicité
Ce temps est fini,
Nous sommes libérés
Mais l'odeur de l'or et du charbon
Les appelle, ils reviendront;
Ils s'approchent des pieds de notre Afrique
Puisque les richesses de son sol est sans orée
L'unité africaine, cette force inébranlable,
Qui y mettra fin,
Oui l'Afrique s'attend à un néocolonialisme,
L'Afrique de l'ouest
L'Afrique du nord
L'Afrique de partout,
Nous devons, nous libérer de la désunion.
Le plus grand fouet, c'est l'unité !
𝗖𝗵𝗲́𝗿𝗶𝗳
Africains de tout bord,
D'est en ouest,du sud au nord
Africains de toutes les races,
Il est temps qu'on se regarde de face.
Acceptons nous dans nos différences,
Faisons de l'unité la chose qui nous anime
Combattons de toutes nos forces l'ignorance
Car l'Afrique est notre patrie commune.
Bannisons de nos cœurs le racisme
Faisons de l'unité notre devise,
Usons du sens de l'humanisme
Car ce qui nous unit est fort que ce qui nous divise.
Africains de toutes les nations,
Mettons dans le panier nos pensées,
Apaisons les tensions des conflits de générations
Et faisons du continent une Afrique avancée..
𝗢𝗨𝗘𝗗𝗥𝗔𝗢𝗚𝗢 𝗖𝗵𝗲́𝗿𝗶𝗳 & 𝗜𝘀𝗺𝗮𝗲̈𝗹 𝗖𝗜𝗦𝗦𝗘

Comme il sera étrange
Ce lieu préservé
Notre première chance
Sous des yeux à scruter
Vous mes petites
Qui ne me connaissez
Que par le jugement
Qu on vous a donné
Vous que ma main
Pourra toucher
Que mes yeux pourront aimer
Que sera notre lendemain
Si rien ne peut changer
La décision est prise
On n a aucun droit
Que cette nocive emprise
Vous eloigne de moi.
Vous devez savoir
Sans jamais ne rien dire
Qu ils n ont pas tout pouvoir
De vouloir tout detruire
Mes petites..mes enfants
Une goutte en veine de mon sang
Une mamie d Amour vous attend.
De mon amie Marie-Véronique Levcharlier

De là-bas, loin de mes yeux
Où l'hiver s'envole sur toi
Peux-tu, adorable femme, lire les cris
Que silencieusement, fredonne mon coeur
Et les expressions que je murmure
Entre chaque creux de mes dents.
Je m'interroge, avec milles espoirs
Que me donnent mes sentiments, si géants
Peut-être que tu voudras m'écouter
Peut-être que tu n'en voudras pas
Peut-être ! Mais je ne lâche rien !
Et j'imagine d'ores et déjà
Que nos âmes sont en symbiose,
Deux âmes douces, qui s'accompagnent
Qui se baladent, s'éclairent mutuellement
Si bien que nos corps, ne se connaissent !
Peut-être que c'est faux mais j'imagine !
Malgré que la distance soit là,
De là-bas, loin de mes yeux,
Je te vois
Quand je ferme les yeux
À chaque tombée du jour ou de la nuit
Et seule à toi que je consacre mon temps
Je ne cesse de retrouver au fond de mon âme.
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble
Un grand merci à mes nouveaux followers ! Jacques Jack, Gilceia Siqueira, Apreci La Précision, Marius Abdoulaye, Francois Renard, Elisabeth Traoré, Sambo Boly, Yves Barnole, Elisé Bayé, Rodolphe Premier, Neri Espinoza, Bülent Karakurt, Marc-Elie Seide, Jerome Ouedraogo, Nabalm Biiga, Taha Omar, Michael Nignan, Poétique David, Virginie Mahroug Bozkurt, Mariam Sana, Latifatou Kagambega

Sers-toi d'une minute ou d'une seconde
Et ouvre tes yeux
À l'horizon, regarde, le silence
Ce géant silence qui embrasse
Et croque les jours des pauvres innocents.
Sers-toi d'une minute ou d'une seconde
Et jette un ou deux regards
Dans les bras du ciel
Vois-tu qu'elles se sont quasiment éteintes;
Toutes les étoiles,
Celles à quoi on espérait
Une vie luisante, de l'arc-en-ciel
Sers-toi d'une minute ou d'une seconde
Et laisse ton âme partir là-bas
Là-bas où tes mauvais actes vivent
Ressens-tu la chaleur torride
Et les caresses mortifères
Qu'ils font sur le corps des innocents
Sers-toi d'une minute ou d'une seconde
Et ouvre bien tes oreilles
Écoute chanter, l'univers,
Pour manque de paix
Pour cause que tes horreurs pleuvent.
Ismaël CISSE poète du vivre ensemble.
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